31 mai 2012
C'est dur
Des cris, des gestes brusques, des mots dans les cahiers. Des pleurs d'enfants, des coups, des insultes. Il y en a tellement que parfois je ne sais plus qui les donne et qui les reçoit.
Et les larmes au bord de mes yeux, à moi, malgré les conseils des collègues, malgré le calendrier qui s'approche des vacances.
Je ne suis pas sûre d'y arriver, ni cette année, ni la suivante. Il faut tenir bon, oui, je sais. Mais 6 heures par jour, avec cette violence, celle que je vois et celle que je renvoie, c'est dur.
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